Le 9 janvier, le cabinet a organisé une conférence de presse en réaction à l’ouverture de l’enquête d’un magistrat du pôle crimes contre l’humanité de Paris sur les actes de torture présumés subis par Sylvia et Noureddin Bongo durant leur détention. Leurs avocats, Me François Zimeray et Me Catalina de la Sota, ont dénoncé les conditions inhumaines imposées à leurs clients ainsi que les déclarations « mensongères » du procureur gabonais.

Au micro de Radio Classique ce jeudi 9 janvier à 8h15, Me François Zimeray, ancien ambassadeur et l’avocat de l’écrivain franco-algérien Boualem Sansal, a détaillé comment les relations franco-algériennes impactaient le processus judiciaire de l’écrivain actuellement détenu en Algérie.

« Nous faisons face à une situation ahurissante. Nous nous tournons vers le Quai d’Orsay pour rétablir le lien entre M. Paris et ses enfants, le temps de la procédure », réagi Me Finelle, avocate d’Arnaud Paris, au Barreau de Paris et à la Cour pénale internationale.

« Le Japon a tenté de faire taire un homme dont le seul crime est d’avoir dénoncé l’illégalité du massacre industriel maquillé en recherche scientifique », a réagi auprès de l’AFP un de ses avocats, Me François Zimeray.

« Au mauvais endroit, au mauvais moment ». C’est ainsi que Tom Félix résume sa situation dans l’une des séquences du documentaire inédit diffusé dans l’émission 66 Minutes, sur la chaîne M6. Le reportage revient sur la situation du jeune homme de 33 ans, détenu en Malaisie où il risque jusqu’à la peine de mort pour complicité de trafic de drogue.

Alors que la situation judiciaire de Boualem Sansal s’aggrave, que ses avocats, algériens et français, n’ont pu le contacter, son éditeur Antoine Gallimard appelle à un vaste mouvement de soutien international et lance une souscription pour la défense de l’écrivain. Son avocat français, Maître François Zimeray, plaide contre ce qu’il appelle « le blocus de la pensée ».

Un Français de 33 ans, Tom Félix, est écroué depuis plus d’un an en Malaisie. Du cannabis a été retrouvé au domicile qu’il partageait avec son colocataire. Ses parents tentent de se battre pour le faire sortir de prison où les conditions de détention sont très dures.

A l’occasion de la sortie du film Une part manquante, de Guillaume Senez, inspiré de l’histoire de plusieurs clients du cabinet, Jessica Finelle apporte un éclairage quant aux enlèvements d’enfants par un parent au Japon .

« Au Japon, il existe une présomption de culpabilité et les procureurs sont fiers d’annoncer qu’ils ont un taux de condamnation de 99,6 % », a déploré l’un des conseils de M. Watson, François Zimeray, dénonçant un « harponnage politique ».